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Ce sentier de l’évolution repré­sente des stati­ons importan­tes de l’histoire de la vie sur Terre. Depuis les premiè­res traces de la vie jusqu’à aujourd’hui, il mesure 1000 mètres.
Cela veut dire: Avec chaque grand pas, vous surmon­tez un peu plus de 4 milli­ons d’années. Chaque mm repré­sente envi­ron 4000 ans – le temps passé depuis la cons­truc­tion des pyra­mi­des en Égypte jusqu’à aujourd’hui.
À chaque pas fait sur le chemin de l’évo­lu­tion, on peut sentir combien de temps la vie sur la Terre a eu besoin pour se deve­lo­p­per, jusqu’à ce que des orga­nis­mes vivants (et nous aussi, les humains) se soient formés, des êtres vivants qui ont été capa­bles de construire des pyra­mi­des et même de voler sur la lune.

gbs – Giord­ano Bruno Stiftung
La fonda­tion suit le prin­cipe de l’humanisme évolu­tif dont la base éthi­que est la “considé­ra­tion égale des inté­rêts égaux”. Par consé­quence, les idéo­lo­gies discri­mi­na­toires sont incom­pa­ti­bles avec notre vision du monde. Nous sommes convain­cus que tout ce qui se passe dans l’univers s’accomplit confor­mé­ment aux lois natu­rel­les. Donc que toutes les struc­tures, les proces­sus, les êtres et les carac­té­ris­ti­ques dans l’univers sont d’origine natu­relle – y compris l’évolution.


Les stati­ons de ce chemin ne repré­sen­tent pas le déve­lo­p­pe­ment direct jusqu’aux hommes, mais les déve­lo­p­pe­ments importants sans lesquels le monde que nous connais­sons aujourd’hui n’existerait pas.
Les stati­ons ne mont­rent de loin pas tous les déve­lo­p­pe­ments prin­ci­paux, mais on peut constater que la rapi­dité des chan­ge­ments évolu­tion­aires a augmenté.
Et il y a eu régu­liè­re­ment des coupu­res drama­ti­ques dans la forma­tion de la vie – complè­te­ment sans influence surna­tu­relle. Nous parlons des dispa­ri­ti­ons massi­ves: il y en a eu d’ innom­bra­bles. Les 6 les plus importan­tes sont évoquées sur les panneaux. La majo­rité de ces dispa­ri­ti­ons a été provo­quée par des gran­des varia­ti­ons de tempé­ra­ture (de cour­tes peri­odes!). Les raisons ont été très diver­ses, dont l’augmentation et la dimi­nu­tion de dioxide de carbone dans l’atmosphère, l’apparition de l’oxygène dans l’atmosphère, mais aussi par des érup­ti­ons de volcans, l’impact des météo­ri­tes et la dérive des continents.
La dernière des ces extinc­tions a fait dispa­raître les dino­sau­res (et beau­coup plus d’ espè­ces d’animaux et de plan­tes) il y a 65 milli­ons d’années. Si nous sommes actu­el­le­ment au seuil d’une nouvelle extinc­tion massive, nous ne le savons pas – mais l’augmentation de tempé­ra­ture que nous mesur­ons sans aucune doute ces derniè­res décen­nies indi­que que c’est effec­ti­ve­ment le cas…

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